Après l’annonce des sévères menaces qui pèsent sur la Gemäldegalerie de Berlin par La Tribune de l’Art (voir cet article pour les détails), il semble qu’une révision, par le Gouvernement allemand, des projets destructeurs de la Stiftung Preussischer Kulturbesitz soit prévue pour l’automne.
Comme beaucoup, je suis toujours circonspect (pour ne pas dire plus) devant les propositions de signatures de pétitions reçues chaque semaine. Cependant, l’annonce, en quelques jours, de la fermeture de la Gemäldegalerie et de l’Institut Néerlandais (Paris), deux fleurons européens, doivent être soutenues par ces entreprises courageuses.
Fermer un musée sans solution préalable de réaccrochage de la collection, c'est risquer une mise en caisse pour des dizaines d'années de l'une des plus importante collection d'art ancien du monde. La modernité n'a jamais fait table rase du passé pour essayer d'être d'avant-garde avant le début du XXe siècle. Au contraire, elle s'en est toujours nourrie et a ainsi produit les plus grands chefs-d'œuvre. La crainte de rater le dernier train du modernisme fait des ravages partout.
Il faudrait que la fermeture sine die du Musée d’Art Contemporain de Bruxelles fasse l’objet d’une pétition internationale du même type.
Fermer un musée sans solution préalable de réaccrochage de la collection, c'est risquer une mise en caisse pour des dizaines d'années de l'une des plus importante collection d'art ancien du monde. La modernité n'a jamais fait table rase du passé pour essayer d'être d'avant-garde avant le début du XXe siècle. Au contraire, elle s'en est toujours nourrie et a ainsi produit les plus grands chefs-d'œuvre. La crainte de rater le dernier train du modernisme fait des ravages partout.
Il faudrait que la fermeture sine die du Musée d’Art Contemporain de Bruxelles fasse l’objet d’une pétition internationale du même type.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire